Dans cette œuvre, j’ai voulu traduire visuellement le poids invisible que trop de femmes portent au quotidien. Une tension intérieure entre la pression d’exister, de plaire, de performer… et le désir profond de paix, de légèreté, de liberté.
La figure centrale lutte pour s’éloigner du tumulte. La fleur éclatante à gauche — bruyante, presque arrogante — incarne l’apparence qu’on exige, l’image qu’on attend. Tandis que le coquelicot à droite, fragile et vibrant, devient le symbole d’un rêve doux et simple : enfiler une robe qu’on aime, marcher dans un champ en silence, sentir le soleil sur la peau… sans justification.
Les fleurs ne suffisent pas à apaiser cette charge. Elles offrent un contraste, un rappel, un souffle… mais la tension reste palpable. Et pourtant, dans ce désordre coloré, il y a aussi une volonté de beauté, une main tendue vers quelque chose de plus léger.
Oeuvre de 36 po x 36 po sur toile chassis épais, à l’acrylique
Dans cette œuvre, j’ai voulu traduire visuellement le poids invisible que trop de femmes portent au quotidien. Une tension intérieure entre la pression d’exister, de plaire, de performer… et le désir profond de paix, de légèreté, de liberté.
La figure centrale lutte pour s’éloigner du tumulte. La fleur éclatante à gauche — bruyante, presque arrogante — incarne l’apparence qu’on exige, l’image qu’on attend. Tandis que le coquelicot à droite, fragile et vibrant, devient le symbole d’un rêve doux et simple : enfiler une robe qu’on aime, marcher dans un champ en silence, sentir le soleil sur la peau… sans justification.
Les fleurs ne suffisent pas à apaiser cette charge. Elles offrent un contraste, un rappel, un souffle… mais la tension reste palpable. Et pourtant, dans ce désordre coloré, il y a aussi une volonté de beauté, une main tendue vers quelque chose de plus léger.
Oeuvre de 36 po x 36 po sur toile chassis épais, à l’acrylique
